Son œuvre

Périodes

Les débuts (1901-1908)

Vers le cubisme (1909-1910)

L'épopée cubiste (1911-1914)

Toul (1914-1915)

New-York et Barcelone (1915-1918)

L'Entre-deux-guerres (1918-1939)

Les dernières années (1940-1953)

Fondation Albert Gleizes → Albert Gleizes → Son œuvre

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Paysage, 1902
Huile sur toile
53 x 64 cm
Paris, Fondation Albert Gleizes
Photo Alain Basset

Les débuts (1901-1908)

Gleizes commence à peindre en autodidacte autour de 1901 à la manière des impressionnistes. Ses paysages des environs de Courbevoie s'inspirent notamment de Sisley ou de Pissarro. Mais, <em>Paysage, 1902</em><br />
Huile sur toile <br />
53 x 64 cm<br />
Paris, Fondation Albert Gleizes<br />
Photo Alain Bassetaprès quelques années, la pratique assidue du dessin conduit Gleizes à se détourner progressivement de ce style pictural. Entre-temps, l'artiste a participé à l'aventure de l'éphémère "Abbaye de Projet de couverture pour<em> L'Âme essentielle de René Arcos</em>, vers 1907<br />
Crayon, gouache et lavis d'encre sur papier<br />
36,4 x 25,4 cm<br />
Paris, Fondation Albert Gleizes<br />
Photo Alain Basset<br />Créteil", petite colonie de littérateurs regroupés autour d'une imprimerie artisanale. Gleizes fait à l'occasion quelques illustrations pour des ouvrages édités par ses amis. Dans ses dessins autonomes, Gleizes <em>Nuages bas dans la montagne </em>(Bagnères-de-Bigorre)<br />
1908<br />
Fusain et craie blanche sur papier collé en plein<br />
24,3 x 30,7 cm<br />
Paris, Centre Georges Pompidou / Musée national d'Art modernemarque à partir de 1907 un intérêt soutenu pour le monde du travail et de l'industrie. Témoin de l'industrialisation rapide de la banlieue parisienne, il représente volontiers l'activité <em>Péniches et fumées à Courbevoie</em>, 1908<br />
Crayon, lavis d'encre brune rehaussée de gouache blanche sur papier collé sur carton<br />
23 x 32,5 cm<br />
Paris, Fondation Albert Gleizesdes mariniers des bords de la Seine, dans un esprit à la fois naturaliste et symboliste. Parallèlement, l'usage du lavis d'encre brune étendu au pinceau fait évoluer le <em>L'Ecluse de Suresnes</em>, 1908<br />
Crayon, lavis d'encre noire rehaussée de gouache grise sur carton<br />
31,1 x 41 cm<br />
Suresnes, musée d'Histoire urbaine et socialestyle de l'artiste vers un rendu plus synthétique. Les rares tableaux peints par Gleizes en 1908 manifestent un intérêt nouveau pour la couleur et trahissent même l'influence passagère Jour de marché à Bagnères-de-Bigorre<em>, 1908<br />
</em>Huile sur toile<br />
60 x 73 cm<br />
Lyon, musée des Beaux-Arts <br />
Photo Alain Basset<br />du fauvisme.

Vers le cubisme (1909-1910)

En dehors de quelques portraits, où il prend volontiers pour modèles des écrivains, anciens membres comme lui de l'Abbaye de Créteil, Gleizes Paysage des Pyrénées, 1909<br />
Crayon et lavis d'encre noire sur carton<br />
47,5 x 34,6 cm<br />
Paris, Fondation Albert Gleizescontinue à montrer sa prédilection pour le paysage. Durant l'été 1909, un séjour au cœur des Pyrénées lui donne l'occasion de se <em>Paris, les quais</em>, 1908<br />
Crayon et lavis d'encre noire sur carton<br />
30,3 x 42 cm<br />
France, collection particulièreconvertir à un style linéaire et dépouillé, proche de celui du peintre Henri Le Fauconnier. Gleizes ramène ainsi de Bagnères-de-Bigorre des lavis <em>Les Bords de la Marne</em>, 1909<br />
Huile sur toile<br />
54 x 65 cm<br />
Lyon, musée des Beaux-Arts<br />
Photo Alain Bassetdont les épais tracés confèrent aux paysages montagneux de cette région le schématisme de cartons de vitraux. A partir de 1910, Gleizes <em>René Arcos</em>, 1910<br />
Huile sur toile<br />
60,3 x 38,3 cm<br />
Paris, Fondation Albert Gleizes


 adopte, toujours à l'exemple de Le Fauconnier, un style plus analytique qui le conduit à décomposer les formes en multiples facettes au <em>Paysage</em>, 1910<br />
Crayon et lavis d'encre sur papier<br />
34 x 42,2 cm<br />
Saint-Rémy-de-Provence, Espace Van Goghcoloris atténué.

L'épopée cubiste (1911-1914)

Au salon des Indépendants de 1911, où Gleizes expose un nu masculin et Femme aux phlox, ses œuvres, ainsi que celles de Metzinger, Le Fauconnier, Léger et Delaunay réunies dans la même salle 41, suscitent la violente incompréhension des <em>Les Baigneuses</em>,1912<br />
Huile sur toile<br />
105 x 171 cm<br />
Paris, musée d'Art moderne de la Villevisiteurs. A l'occasion de ce scandale mémorable, le public parisien découvre le cubisme, dont la formule a pourtant été élaborée par Braque et Picasso depuis quelques années. Dans un premier temps, Gleizes tente de concilier traitement cubiste et tradition. <em>Cathédrale</em>, 1912<br />
Huile sur toile<br />
73,6 x 60,3 cm<br />
Hanovre, Sprengel MuseumSi Cathédrale suggère le rattachement du cubisme à l'art médiéval, Les Baigneuses fait appel à la tradition classique du nu idéal, transporté dans un paysage où fument désormais des cheminées d'usines.

En s'inspirant des théories du philosophe Henri <em>Le Chemin, Meudon</em>, 1911<br />
Huile sur toile<br />
147 x 115 cm<br />
Collection particulièreBergson, Gleizes cherche à partir de 1912 à appréhender "l'objet, non plus considéré d'un point déterminé, mais définitivement reconstruit suivant un choix successif que [s]on propre mouvement [lui] permet de découvrir." Cette technique est poussée à un haut degré <em>Femme aux phlox</em>, 1910<br />
Huile sur toile<br />
81 x 100 cm <br />
Houston, The Museum of Fine Arts<br />
Esther Florence Whinery Foundationde complexité dans le monumental Dépiquage des moissons, paysage austère où semblent se mêler symboliquement les actions et les lieux. Cette œuvre ambitieuse, l'un des plus grands tableaux de l'histoire du cubisme, figure en bonne place au Salon de <em>Le Dépiquage des moissons</em>, 1912<br>
Huile sur toile<br>
269 x 353 cm<br>
Tokyo, musée national d'Art occidentalla Section d'Or, important rassemblement de la plupart des artistes progressistes en octobre 1912. Dans le domaine du portrait, L'Editeur Eugène Figuière constitue autant un manifeste de la "simultanéité en peinture" qu'un hommage à l'éditeur de Du "Cubisme", premier <em>Les Joueurs de foot-ball</em>, 1912-1913<br>
Huile sur toile<br>
226 x 183 cm<br>
Washington, National Gallery of Art<br>
Alisa Mellon Bruce Fundouvrage sur le cubisme, publié par Gleizes et Metzinger en 1912. Avec Les Joueurs de football, Gleizes représente un sport collectif d'importation récente, le rugby (encore appelé football à cette époque), qui inspire au même moment à Robert Delaunay <em>L'Editeur Eugène Figuière</em>, 1913<br />
Huile sur toile<br />
143,5 x 101,5 cm<br />
Lyon, musée des Beaux-Arts<br />
© Lyon MBA / Photo Alain Bassetson Equipe de Cardiff . C'est sans doute sous l'influence de ce dernier que Gleizes à la veille de la guerre recourt progressivement à des tonalités plus vives. Cette évolution culmine avec le Paysage près de Montreuil, où commencent <em>Paysage près de Montreuil</em>, 1914<br>
Huile sur toile<br>
73 x 92,5 cm<br>
Sarrebrück, Saarland-Museumà se manifester des tendances abstraites.

Toul (1914-1915)

Au début de la Première guerre mondiale, mobilisé à Toul en Lorraine, Gleizes produit dans des conditions matérielles précaires des gouaches et de petites encres, où il aborde l'abstraction en précurseur. Gleizes fait aussi des <em>Retour</em>, 1915<br />
Illustration parue dans Le Mot du 1er juillet 1915<br />
39 x 50 cm<br />
Photo Alain Bassetportraits, comme celui du médecin-major de la compagnie, le docteur Lambert. Ce tableau, le seul peint par l'artiste à Toul, adapte la composition de L'Editeur Figuière tout en faisant appel à de larges plans de <em>Nature morte</em>, 1915<br />
Gouache sur papier<br />
19,5 x 25 cm<br />
Collection particulière<br />
Photo Alain Bassetcouleurs sourdes mis en mouvement. Durant cette période, Gleizes collabore aussi avec Jean Cocteau, resté à Paris : il participe à la revue patriotique lancée par le poète, Le Mot, qui publie son "Retour de <em>Sans titre</em>, 1914<br />
Encre et rehauts de gouache sur papier collé sur carton<br />
20 x 25 cm<br />
Collection particulière<br />
Photo Alain Basset
Bois-le-Prêtre", inspiré par la vision accablante d'un groupe de soldats blessés revenant du front. A la demande de Cocteau, Gleizes prépare aussi des maquettes de costumes pour une adaptation réactualisée du Songe d'une nuit d'été <em>Portrait d'un médecin militaire</em>, 1914<br />
Huile sur toile<br />
120 x 95 cm<br />
New York, Solomon R. Guggenheim Museum<br />
Don Solomon R. Guggenheim, 1937de Shakespeare. Ce spectacle que Cocteau voulait monter au cirque Médrano devait mêler clowns et acteurs du conflit en cours. Les fonds colorés de ces dessins correspondent aux projections lumineuses qui auraient constitué les seuls <em>Le Lion</em> <br />
Étude de costume pour Le Songe d'une nuit d'été, 1914<br />
Aquarelle, gouache et encre brune sur papier<br />
27 x 21,1 cm<br />
Lyon, musée des Beaux-Arts<br />
Photo Alain Bassetdécors du spectacle, si celui-ci avait vu le jour. Le Songe, dont Erik Satie devait composer en partie la musique, préfigure Parade, le fameux ballet pour lequel Cocteau s'associera à Picasso, Satie et Massine en <em>Thésée</em><br />
Etude de costume pour Le Songe d'une nuit d'été, 1914<br />
Crayon, aquarelle, gouache et encre brune sur papier<br />
35 x 21,4 cm<br />
Lyon, musée des Beaux-Arts<br />
Photo Alain Basset1917.

New-York et Barcelone (1915-1918)

Durant sa période américaine, Gleizes aborde de nouveaux sujets. Saisi par le gigantisme de <em>Sur une danseuse espagnole</em>, 1916<br />
Huile et sable sur carton<br />
101 x 76,5 cm<br />
New York, Solomon R. Guggenheim Museumla métropole américaine, il se met à représenter les gratte-ciel, le pont suspendu de <em>Broadway</em>, 1915<br />
Huile et gouache sur carton<br />
101,8 x 76,5 cm<br />
New York, Solomon R. Guggenheim MuseumBrooklyn ou encore les publicités lumineuses de Broadway. Les effets de superpositions dynamiques que <em>Brooklin Bridge</em>, 1915<br />
Crayon, encre noire, lavis, aquarelle et gouache sur papier calque collé sur carton<br />
25 x 19 cm<br />
Collection particulièreGleizes s'autorise semblent faire écho aux rythmes syncopés du jazz, auquel l'artiste a été <em>Brooklin Bridge</em>, 1915<br />
Huile et technique mixte sur toile<br />
102 x 102 cm<br />
New York, Solomon R. Guggenheim Museum

 initié dès son arrivée à New York. Certaines œuvres conçues à Toul, comme le <em>Sur des clowns</em>, 1917<br />
Huile et sable sur toile<br />
103 x 76 cm<br />
Paris, musée d'Art moderne de la Villeportrait du compositeur Florent Schmitt ou celui de Juliette Roche, trouvent leur réalisation picturale <em>Le Chant de guerre. Portrait de Florent Schmitt</em>, 1915<br />
Huile sur toile<br />
101 x 101 cm<br />
Paris, Centre Georges Pompidou / Musée national d'Art modernedans l'atelier new-yorkais de l'artiste. A Barcelone, où il passe quelques mois en 1916, <em>La Parisienne (Juliette Roche)</em>, 1915<br />
Huile sur toile<br />
62 x 37 cm<br />
Lyon, musée des Beaux-Arts<br />
Photo Alain BassetGleizes aborde tout naturellement des thèmes espagnols, comme celui des danseuses, mais aussi celui <em>Paysage des Bermudes</em>, 1917<br />
Huile sur carton<br />
92 x 73 cm<br />
Paris, Centre Georges Pompidou / Musée national d'Art modernedu cirque, sous l'influence probable de Jean Cocteau, dont il fait alors un étonnant <em>Portrait de Jean Cocteau</em>, 1916<br />
Huile et plâtre sur toile<br />
116 x 80 cm<br />
Fundación Telefónicaportrait. Le retour vers New York permet à l'artiste de faire escale aux Bermudes, <em>Espagnoles à l'éventail</em>, 1916<br />
Huile sur toile<br />
92 x 73 cm<br />
Collection particulièreoù il peint quelques paysages.

L'Entre-deux-guerres (1918-1939)

Après la Première guerre mondiale, le style d'Albert Gleizes évolue de façon très sensible. Usant désormais d'aplats de couleurs plus <em>Le Centre noir</em>, 1925<br />
Huile sur toile<br />
2,685 x 3,540 m<br />
Lyon, musée des Beaux-Arts<br />
Photo Alain Bassetou moins géométriques, l'artiste alterne compositions purement abstraites et figurations allusives. Ressentant la nécessité de soumettre sa pratique artistique à <em>Panneau destiné au décor de la chambre de Jacqueline Rosenberg</em>, 1930-1931<br />
Huile sur toile<br />
115 x 90 cm<br />
Paris, Centre Georges Pompidou / Musée national d'Art modernedes lois, Gleizes isole bientôt "deux caractères à son activité plastique qui permettent au plan du tableau de se morceler <em>Composition octogonale</em>, vers 1922<br />
Huile sur toile<br />
89,5 x 69,5 cm<br />
Collection particulièresans se dénaturer organiquement", ce sont les "translations" et les "rotations" de plans colorés qui déterminent l'avènement du "tableau-objet". Au <em>Composition octogonale</em>, vers 1922<br />
Huile sur toile<br />
89,5 x 69,5 cm<br />
Collection particulièremilieu des années 20, Gleizes s'attache à rendre plus complexe l'organisation du tableau en délimitant sur une même toile, souvent <em>Peinture pour une gare (Moscou)</em>, 1920<br />
Huile sur toile<br />
357 x 276 cm<br />
Musée de Grenoblede grand format, plusieurs compartiments, qu'il tentera de relier entre eux par de larges cercles gris au début des années <em>Figure en gloire</em>, 1938<br />
Gouache sur carton<br />
37 x 45 cm<br />
Saint-Rémy-de-Provence, Centre d'Art Espace Van Gogh30. Aisément adaptables à une échelle monumentale, ces compositions conduisent Gleizes à envisager la réalisation de décors liés à l'architecture. <em>Les Musiciens</em>, 1920<br />
Huile sur toile<br />
119,3 x 94 cm<br />
Collection particulièreAprès l'échec d'un projet pour l'Ecole de Pharmacie à Paris, le marchand Léonce Rosenberg lui confie en 1930 la décoration <em>Peinture à sept éléments</em>, 1924-1934<br />
Huile sur toile<br />
261 x 181 cm<br />
Paris, Centre Georges Pompidou / Musée national d'Art moderned'une chambre de son appartement parisien. Après avoir renoué le dialogue artistique avec Robert Delaunay, Gleizes participe au Salon des <em>Support de contemplation</em>, 1932-1934<br />
Huile sur toile<br />
141 x 111 cm<br />
Menton, musée des Beaux-ArtsTuileries de 1938 en concevant deux décors monumentaux sur le thème de la "figure dans l'arc-en-ciel". Ce thème fait l'objet <em>Terre et Ciel</em>, vers 1935<br />
Huile sur toile<br />
136 x 136 cm<br />
Lyon, musée des Beaux-Arts<br />
Photo Alain Bassetde plusieurs variations importantes dans son œuvre.

Les dernières années (1940-1953)

Durant la Seconde guerre mondiale, Albert Gleizes, très marqué par le conflit, aborde des sujets plus austères, dont la majesté est renforcée <em>Arabesque</em>, 1951<br />
Encre noire sur papier<br />
17,5 x 12,5 cm<br />
Lyon, musée des Beaux-Arts<br />
Photo Alain Bassetpar le choix de formats monumentaux. Gleizes tente de renouveler l'art sacré en s'inspirant des peintures byzantines ou médiévales auxquelles il s'intéresse <em>Arabesque</em>, vers 1953<br />
Huile sur isorel<br />
76 x 60 cm<br />
Lyon, musée des Beaux-Arts<br />
Photo Alain Bassetde près. Pour ce faire, il use d'un vocabulaire plastique associant éléments graphiques évocateurs et plages colorées abstraites. La distribution simplifiée des <em>Arabesque, dit aussi Libellule</em>, vers 1952<br />
Huile sur toile<br />
80 x 57 cm<br />
Paris, Fondation Albert Gleizescouleurs, qui viennent contredire la relative sévérité des sujets, évoque la technique, familière à l'artiste, du pochoir. Parallèlement, le cycle des Supports <em>Contemplation</em>, 1944<br />
Gouache sur carton<br />
8,4 x 14,3 cm<br />
Paris, Fondation Albert Gleizesde contemplation semble favoriser l'expression d'une ferveur mystique sans le soutien d'une iconographie religieuse explicite. Scandées par des éléments mobiles qui trouvent <em>Autorité spirituelle et pouvoir temporel</em>, 1939-1940<br />
Huile sur toile<br />
3,360 x 2,030 m<br />
Lyon, musée des Beaux-Arts<br />
Photo Alain Bassetleurs origines dans les "rotations", ces compositions invitent à une véritable dynamique du regard. Dans une ultime période, Gleizes explore le thème <em>Pour l'esprit - Les Verts</em>, 1939<br />
huile sur toile<br />
183 x 148 cm<br />
Collection particulièredes Arabesques, où se fait jour une inspiration plus libre dont témoignent notamment ses illustrations pour les Pensées de Pascal, son testament <em>Pour la contemplation</em>, 1942<br />
Huile sur toile<br />
217 x 132 cm<br />
Lyon, musée des Beaux-Arts<br />
Photo Alain Bassetartistique.

Paysage, 1902
Huile sur toile
53 x 64 cm
Paris, Fondation Albert Gleizes
Photo Alain Basset

Projet de couverture pour L'Âme essentielle de René Arcos, vers 1907
Crayon, gouache et lavis d'encre sur papier
36,4 x 25,4 cm
Paris, Fondation Albert Gleizes
Photo Alain Basset

Nuages bas dans la montagne (Bagnères-de-Bigorre)
1908
Fusain et craie blanche sur papier collé en plein
24,3 x 30,7 cm
Paris, Centre Georges Pompidou / Musée national d'Art moderne

Péniches et fumées à Courbevoie, 1908
Crayon, lavis d'encre brune rehaussée de gouache blanche sur papier collé sur carton
23 x 32,5 cm
Paris, Fondation Albert Gleizes

L'Ecluse de Suresnes, 1908
Crayon, lavis d'encre noire rehaussée de gouache grise sur carton
31,1 x 41 cm
Suresnes, musée d'Histoire urbaine et sociale

Jour de marché à Bagnères-de-Bigorre, 1908
Huile sur toile
60 x 73 cm
Lyon, musée des Beaux-Arts
Photo Alain Basset

Paysage des Pyrénées, 1909
Crayon et lavis d'encre noire sur carton
47,5 x 34,6 cm
Paris, Fondation Albert Gleizes

Paris, les quais, 1908
Crayon et lavis d'encre noire sur carton
30,3 x 42 cm
France, collection particulière

Les Bords de la Marne, 1909
Huile sur toile
54 x 65 cm
Lyon, musée des Beaux-Arts
Photo Alain Basset

René Arcos, 1910
Huile sur toile
60,3 x 38,3 cm
Paris, Fondation Albert Gleizes

Paysage, 1910
Crayon et lavis d'encre sur papier
34 x 42,2 cm
Saint-Rémy-de-Provence, Espace Van Gogh

Les Baigneuses,1912
Huile sur toile
105 x 171 cm
Paris, musée d'Art moderne de la Ville

Cathédrale, 1912
Huile sur toile
73,6 x 60,3 cm
Hanovre, Sprengel Museum

Le Chemin, Meudon, 1911
Huile sur toile
147 x 115 cm
Collection particulière

Femme aux phlox, 1910
Huile sur toile
81 x 100 cm
Houston, The Museum of Fine Arts
Esther Florence Whinery Foundation

Le Dépiquage des moissons, 1912
Huile sur toile
269 x 353 cm
Tokyo, musée national d'Art occidental

Les Joueurs de foot-ball, 1912-1913
Huile sur toile
226 x 183 cm
Washington, National Gallery of Art
Alisa Mellon Bruce Fund

L'Editeur Eugène Figuière, 1913
Huile sur toile
143,5 x 101,5 cm
Lyon, musée des Beaux-Arts
© Lyon MBA / Photo Alain Basset

Paysage près de Montreuil, 1914
Huile sur toile
73 x 92,5 cm
Sarrebrück, Saarland-Museum

Retour, 1915
Illustration parue dans Le Mot du 1er juillet 1915
39 x 50 cm
Photo Alain Basset

Nature morte, 1915
Gouache sur papier
19,5 x 25 cm
Collection particulière
Photo Alain Basset

Sans titre, 1914
Encre et rehauts de gouache sur papier collé sur carton
20 x 25 cm
Collection particulière
Photo Alain Basset

Portrait d'un médecin militaire, 1914
Huile sur toile
120 x 95 cm
New York, Solomon R. Guggenheim Museum
Don Solomon R. Guggenheim, 1937

Le Lion
Étude de costume pour Le Songe d'une nuit d'été, 1914
Aquarelle, gouache et encre brune sur papier
27 x 21,1 cm
Lyon, musée des Beaux-Arts
Photo Alain Basset

Thésée
Etude de costume pour Le Songe d'une nuit d'été, 1914
Crayon, aquarelle, gouache et encre brune sur papier
35 x 21,4 cm
Lyon, musée des Beaux-Arts
Photo Alain Basset

Sur une danseuse espagnole, 1916
Huile et sable sur carton
101 x 76,5 cm
New York, Solomon R. Guggenheim Museum

Broadway, 1915
Huile et gouache sur carton
101,8 x 76,5 cm
New York, Solomon R. Guggenheim Museum

Brooklin Bridge, 1915
Crayon, encre noire, lavis, aquarelle et gouache sur papier calque collé sur carton
25 x 19 cm
Collection particulière

Brooklin Bridge, 1915
Huile et technique mixte sur toile
102 x 102 cm
New York, Solomon R. Guggenheim Museum

Sur des clowns, 1917
Huile et sable sur toile
103 x 76 cm
Paris, musée d'Art moderne de la Ville

Le Chant de guerre. Portrait de Florent Schmitt, 1915
Huile sur toile
101 x 101 cm
Paris, Centre Georges Pompidou / Musée national d'Art moderne

La Parisienne (Juliette Roche), 1915
Huile sur toile
62 x 37 cm
Lyon, musée des Beaux-Arts
Photo Alain Basset

Paysage des Bermudes, 1917
Huile sur carton
92 x 73 cm
Paris, Centre Georges Pompidou / Musée national d'Art moderne

Portrait de Jean Cocteau, 1916
Huile et plâtre sur toile
116 x 80 cm
Fundación Telefónica

Espagnoles à l'éventail, 1916
Huile sur toile
92 x 73 cm
Collection particulière

Le Centre noir, 1925
Huile sur toile
2,685 x 3,540 m
Lyon, musée des Beaux-Arts
Photo Alain Basset

Panneau destiné au décor de la chambre de Jacqueline Rosenberg, 1930-1931
Huile sur toile
115 x 90 cm
Paris, Centre Georges Pompidou / Musée national d'Art moderne

Composition octogonale, vers 1922
Huile sur toile
89,5 x 69,5 cm
Collection particulière

Composition octogonale, vers 1922
Huile sur toile
89,5 x 69,5 cm
Collection particulière

Peinture pour une gare (Moscou), 1920
Huile sur toile
357 x 276 cm
Musée de Grenoble

Figure en gloire, 1938
Gouache sur carton
37 x 45 cm
Saint-Rémy-de-Provence, Centre d'Art Espace Van Gogh

Les Musiciens, 1920
Huile sur toile
119,3 x 94 cm
Collection particulière

Peinture à sept éléments, 1924-1934
Huile sur toile
261 x 181 cm
Paris, Centre Georges Pompidou / Musée national d'Art moderne

Support de contemplation, 1932-1934
Huile sur toile
141 x 111 cm
Menton, musée des Beaux-Arts

Terre et Ciel, vers 1935
Huile sur toile
136 x 136 cm
Lyon, musée des Beaux-Arts
Photo Alain Basset

Arabesque, 1951
Encre noire sur papier
17,5 x 12,5 cm
Lyon, musée des Beaux-Arts
Photo Alain Basset

Arabesque, vers 1953
Huile sur isorel
76 x 60 cm
Lyon, musée des Beaux-Arts
Photo Alain Basset

Arabesque, dit aussi Libellule, vers 1952
Huile sur toile
80 x 57 cm
Paris, Fondation Albert Gleizes

Contemplation, 1944
Gouache sur carton
8,4 x 14,3 cm
Paris, Fondation Albert Gleizes

Autorité spirituelle et pouvoir temporel, 1939-1940
Huile sur toile
3,360 x 2,030 m
Lyon, musée des Beaux-Arts
Photo Alain Basset

Pour l'esprit - Les Verts, 1939
huile sur toile
183 x 148 cm
Collection particulière

Pour la contemplation, 1942
Huile sur toile
217 x 132 cm
Lyon, musée des Beaux-Arts
Photo Alain Basset